Le monde judiciaire est un monde plein d’incertitude et de divers préjudices. Parfois, dans leur raisonnement, les hommes qui appliquent la loi se heurtent à leur propre émotion et leur propre jugement et commettent des fautes. Dans ce cas de figure, on parle d’erreur judiciaire. Une situation visible que dans les grands films ou reportages dramatiques, mais demeure néanmoins réel.
Définition et probable cause d’une erreur judiciaire
Dans le meilleur des mondes, l’administration judiciaire est une entité sans faille exempte de toute forme d’erreur ni de faille. Mais dans la réalité, cette institution est régie par des hommes avec leur émotion et leur valeur. Dans un tribunal, chaque partie devant la justice essaye de plaidoyer sa cause et de convaincre le jury et le juge de sa non-culpabilité. En tant qu’homme, chaque personne composant le jury ainsi que le juge lui-même est influençable et peut dans un éclair de persuasion, considérer comme vrai tout argument en adéquation avec la loi et ses valeurs morales. Ainsi, le monde juridique n’est pas amputé d’erreur. Dans le cas où de nouvelles preuves virent erroné un jugement passé, on parle d’erreur judiciaire. Dans la mesure où une erreur a été démontrée et conduit devant un tribunal, l’administration se doit de corriger cette erreur, et indemniser la victime.
Les conséquences néfastes et indélébiles d’une erreur judiciaire
Par définition, une erreur judiciaire s’applique dès qu’il a été démontré qu’un jugement ou une décision judiciaire est erroné face à de nouvelles preuves. Mais dans quel cas de figure s’applique réellement cette perspective ? Devant des délits mineurs, impliquant de petites sanctions telles de petite amende ou de petites sessions d’emprisonnement ne dépassant quelques mois, l’injuste est le plus souvent laissé, et la procédure de faire appel oublier. Mais dans le cas d’incarcération longue de plusieurs mois voire des années, les conséquences d’une telle situation peuvent avoir de conséquences néfastes sur la vie de ou des victimes de l’injustice en question. Car, il est insupportable pour l’homme de savoir que l’on a été victime d’une injustice, d’une erreur judiciaire. Il est presque inimaginable de ressentir la souffrance que l’on pourrait ressentir. Cette situation laissera une trace indélébile dans la vie des victimes, et favorisera sans aucun doute leur échec dans leur vie future.
Réparer une erreur judiciaire : faire appel du jugement
- Pour réparer une erreur judiciaire, il faut dans un premier temps démontrer l’erreur, car qu’importe notre degré d’innocence, sans nouvelle preuve, devant la loi, on est coupable. Une fois les nouvelles preuves démontrant notre non-culpabilité réunis, on fait appel de la décision.
- Ensuite, on doit déposer auprès du greffier du tribunal de première instance sa demande de faire appel et l’avocat poursuivra la procédure. En surfant sur le Net, des sites comme www.conseil-juridique-online.fr développent de nombreux articles qui traitent le problème.